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La violence contre les femmes en France et en Italie

« La violence est souvent une mise en acte de l’impuissance ». - Jacques Salomé

La violence contre les femmes aujourd'hui

La violence contre les femmes est un fléau mondial qui persiste dans toutes les sociétés, quel que soit leur niveau de développement économique ou leur statut social. Plus précisément, cette problématique transcende les frontières nationales, affectant les sociétés dans leur ensemble et sapant les fondements même de l'égalité des genres. Dans ce contexte, la France et l'Italie offrent un terrain d'étude propice à une analyse comparative et transversale de la violence contre les femmes. Dans ces deux nations, comme dans de nombreux autres pays, les femmes sont confrontées à diverses formes de violence, qu'il s'agisse de violence domestique, physique, sexuelle, psychologique ou verbale. Cette réalité alarmante soulève des préoccupations majeures en termes de droits humains, de santé publique et de justice sociale.

Les différentes typologies

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Violence domestique

La violence domestique regroupe différentes formes de violence dans le cadre familial ou conjugal. Elle repose sur une dynamique de domination et englobe les violences physique et sexuelle, psychologique ou économique, impactant gravement la sécurité et le bien-être des victimes.

Violence psychologique et verbale

Ce type de violence s'attaque à l'estime de soi par des humiliations, des menaces, ou le silence. Elle vise à contrôler et fragiliser la victime par des paroles ou attitudes dévalorisantes, renforçant un climat de peur et d’insécurité.

Violence physique et sexuelle

Cette forme de violence regroupe les agressions corporelles et les actes imposés à l’intimité, tels que coups, viols ou attouchements. Elle vise à soumettre la victime en portant gravement atteinte à son intégrité physique et psychologique.

Violence économique

La violence économique restreint l’autonomie de la victime en contrôlant ses ressources financières et matérielles. Cela peut inclure l’interdiction de travailler, le contrôle des dépenses, ou la privation d’accès aux biens essentiels, maintenant la victime dans une dépendance forcée.

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